Les métiers
dans les médias

par Vanessa Franche

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Quels sont les métiers dans les médias?

Quand tu penses aux médias, les premiers métiers que tu imagines sont peut-être ceux de comédienne ou de comédien ou même de rédactrice ou de rédacteur. Mais savais-tu qu’il y a une grande équipe derrière la scène qui collabore pour créer le contenu qu’on visionne en ligne, à la télé et au cinéma? Est-ce que les médias t’intéressent? Allons explorer quelques métiers dans ce domaine!

Les coulisses des médias

Médias sociaux et marketing

Travailler pour les médias sociaux d’une entreprise nécessite de créer du contenu accrocheur.

Cette personne doit faire la promotion d’un produit en créant un message, une image ou une vidéo.

Elle doit capter l’intérêt du public et connaître les différents types de médias : les réseaux sociaux, la télévision, la radio et plus encore.

La créativité, de fortes habiletés en communication et une ouverture face à la critique sont essentielles pour ce métier.

Journalisme

La ou le journaliste doit être habile à recueillir de l’information et faire des entrevues.

Cette personne utilise sa pensée critique pour sélectionner l’information et juger si elle est pertinente ou non.

Elle peut travailler pour un journal, à la télévision, à la radio ou pour une agence de presse.

C’est un métier qui demande de travailler sous pression et d’être ouvert à recevoir de la critique.

Les coulisses des médias

Recherchiste en audiovisuel

Une personne qui œuvre comme recherchiste en audiovisuel peut travailler dans les milieux du cinéma, de la radio ou de la télévision.

Cette personne fait de la recherche pour le développement d’un scénario ou encore pour la réalisation d’un projet.

Elle prend contact avec diverses personnes pour mener des entrevues et rassembler ensuite les informations de ses recherches.

Réalisatrice ou réalisateur

La réalisatrice ou le réalisateur organise l’ensemble des activités qui entourent la mise en scène.

Cette personne doit interpréter le scénario et organiser les répétitions et les tournages.

Elle guide les comédiennes et les comédiens, l’équipe technique et toutes autres personnes qui participent à la production.

La réalisatrice ou le réalisateur doit avoir le sens de l’organisation et savoir gérer une équipe.

Les coulisses des médias

Caméraman

En tournage, la ou le caméraman installe son équipement et prépare un plan d’éclairage.

La ou le caméraman doit être bien organisé, car le temps est limité sur un plateau de tournage.

Cette personne travaille en collaboration avec la réalisatrice ou le réalisateur pendant le tournage.

Éclairagiste

L’éclairagiste consulte les plans d’éclairage pour installer son équipement.

Cette personne effectue des réglages et des tests avant la production et s’occupe de l’équipement durant la production.

L’éclairagiste doit être très efficace pour travailler dans un environnement sous pression.

Monteuse ou monteur

Le travail de montage commence à la suite d’un tournage. C’est ce qu’on appelle la postproduction.

Dans ce métier, cette personne rassemble et organise les images et les sons enregistrés durant l’étape de production.

La monteuse ou le monteur travaille de près avec la personne à la réalisation.

Entrevue avec une gestionnaire des médias sociaux

Cindy, gestionnaire des médias sociaux

Cindy Ramos

En quoi consiste une journée typique au travail?

« Une journée typique commence souvent par une veille des plateformes de l’entreprise. Je m’assure que les publications sont bien publiées ou prêtes à l’être et je réponds aux commentaires. J’observe ce qui se fait ailleurs pour suivre les tendances sur les médias sociaux. Entre des réunions de stratégie ou de campagnes marketing, je passe à la création de contenu. Vers la fin de la journée, je fais un dernier tour des réseaux pour m’assurer que les interactions sont bien gérées. »

Quelles sont les compétences nécessaires pour être gestionnaire des médias sociaux?

« La créativité est essentielle pour présenter les contenus sur les médias sociaux de manière originale et moderne. Elle permet de capter l’attention de notre audience et de maintenir son intérêt. Une bonne communication permet de comprendre et de répondre aux besoins de notre audience tout en communiquant efficacement leurs commentaires aux équipes concernées. Une bonne organisation aide à gérer les priorités, à prévoir les imprévus, à respecter les délais et à maintenir une qualité constante dans notre travail. »

Quelles stratégies utilises-tu pour gérer le stress et maintenir une santé globale au travail?

« Je prends des pauses régulières pour me couper des écrans et des notifications. C’est essentiel pour réduire la fatigue visuelle et mentale. Je sors pour prendre l’air et je promène mon chien. Ces petites escapades me permettent de me ressourcer et de revenir avec un esprit frais. Du côté émotionnel, il est important de savoir prendre du recul par rapport à ce que l’on voit en ligne, notamment face aux commentaires négatifs. Parfois, il arrive que l’on travaille fort sur une publication qui reçoit peu de réactions, ce qui peut nuire au moral. Je me rappelle constamment que ces commentaires ne définissent pas la qualité de mon travail ou ma valeur en tant que personne. »

Entrevue avec une designer

Nina, Designer

Nina Okens

En quoi consiste une journée typique au travail?

« Heureusement, il n’y a jamais de journée typique, car je travaille sur plusieurs projets à la fois. Je fais de la recherche et des dessins préliminaires pour les décors et les costumes. Mon équipe construit les accessoires et les costumes. Je travaille avec l’équipe de modeleurs 3D qui créent les décors virtuels. Ensuite, mon équipe se déplace sur le plateau de tournage. »

Quelles sont les compétences nécessaires pour être designer?

« Il faut un bon sens de l’organisation pour travailler sur plusieurs projets à la fois. Un esprit collaboratif et la créativité sont nécessaires pour travailler avec une équipe de production et mon équipe d’accessoiristes et de costumiers. »

Peux-tu expliquer ta démarche pour dénicher ton emploi actuel?

« Quoiqu’il n’y ait pas vraiment de cours spécialisés pour travailler en accessoires et costumes, des compétences connexes peuvent être développées avec des études en théâtre, en mode, en graphisme, en architecture et en art. Certains syndicats offrent aussi des opportunités d’apprentissage. »

Nina Okens

Savais-tu que...?

  • En 2024, les frais d’étude pour une année en production télévisuelle dans un collège en Ontario coûtent près de 5 000 $.
  • L’onglet Information sur le marché du travail du site Internet Guichet-Emplois propose des fiches qui décrivent les métiers en détail.
  • À l’école secondaire en Ontario, tu peux compléter une majeure haute spécialisation (MHS) en Technologies de l’information et des communications et développer des compétences pour le marché du travail.
  • Les programmes d’éducation coopérative permettent d’effectuer des stages dans la communauté et d’explorer ses intérêts.

Accéder aux métiers dans les médias

Alex consulte son conseiller à l’orientation pour explorer ses options et commencer ses recherches.

Comment puis-je commencer à explorer mes intérêts pour différents métiers?

Informe-toi sur les salons de l’emploi et du commerce offerts dans ta région. Tu peux aussi faire du bénévolat et t’inscrire à un club parascolaire. Tu peux participer à des événements d’entreprises locales et communautaires.

Est-ce que je peux effectuer des recherches sur Internet?

Oui! Tu peux rencontrer des gens qui partagent les mêmes intérêts que toi sur des sites de réseautage. Il y a aussi des groupes d’expertes et d’experts sur Internet. Tu peux t’abonner et en découvrir davantage sur leurs expertises. Ta famille et les membres de ta communauté peuvent aussi t’appuyer et t’offrir des conseils.

Travailler dans sa seconde langue : le français!

Trisha, coordonnatrice des opérations

En quoi consiste une journée typique au travail?

« En tant que coordonnatrice des opérations, c’est ma responsabilité d’assurer la disponibilité des ressources nécessaires pour les besoins de production. Cela peut inclure la réservation des équipes, de l’équipement, des studios et des véhicules. C’est aussi ma responsabilité de vérifier et d’approuver les horaires de ces ressources et de déterminer si des ressources supplémentaires sont requises. »

Quels sont les avantages de parler français et d’être bilingue pour ton emploi?

« Comme TFO est une boîte de production franco-ontarienne et que nous produisons du contenu en français, la langue principale dans toute communication à l’intérieur de la compagnie (que ça soit par courriel, par téléphone, en réunion ou dans la documentation) est le français. Nous faisons aussi appel à des compagnies externes pour qui la langue de communication est l’anglais. Donc, parler français et être bilingue, c’est un grand avantage et même nécessaire dans le cadre de mon emploi. »

Quels sont tes conseils pour une personne qui aimerait œuvrer dans sa seconde langue?

« Premièrement, sois fière ou fier du fait que tu es bilingue! C’est tout un accomplissement qui mérite d’être reconnu!

Assure-toi de mettre le fait que tu es bilingue en primeur sur ton C.V., car on ne sait jamais si cette compétence est celle qui va te différencier et te donner tout l’avantage sur les autres candidats, même si tu n’appliques pas pour un poste en français.

Continue ton éducation en français. J’ai moi-même fait mes études en immersion française de la maternelle jusqu’à la fin du secondaire. Mais n’arrête pas là. Profite de chaque occasion qui se présente pour utiliser et pratiquer le français. Même si c’est quelque chose de simple, comme écouter des séries et films en français ou lire des romans en français.

N’aie pas peur de faire des erreurs, c’est normal. Tu vas découvrir que c’est l’effort qui est apprécié. Vois-le comme une opportunité d’apprendre et d’améliorer ton vocabulaire! Ça fait 19 ans que je travaille en français, et même moi je fais encore des erreurs! »

Crée ton profil personnel

Les compétences

Être capable de décrire tes compétences est important pour la préparation à une entrevue. Ceci te permet de réfléchir à tes forces, mais aussi à tes défis. Développer ta persévérance et ta résilience est essentiel pour te préparer à ta première année postsecondaire.

Les objectifs

Dresser une liste détaillée de tes objectifs permet de mieux te connaître et de reconnaître les démarches à entreprendre pour ton perfectionnement personnel et professionnel.

Les réalisations

Tes projets concrétisés, tes expériences de bénévolat et tes formations complétées sont de bons exemples de ce que l’employeur cherche à découvrir sur toi.

Partager un profil personnel

Partager ton profil personnel permet aux établissements postsecondaires et à des employeurs potentiels d’en prendre connaissance. Ceux-ci peuvent ensuite communiquer avec toi grâce aux plateformes de médias sociaux dédiées à l’emploi.

Prépare-toi pour ta première année postsecondaire

  • Explore différentes façons d’économiser et les options bancaires pour gérer ton argent.
  • Informe-toi sur les types d’emprunts comme les prêts étudiants et les cartes de crédit.
  • Établis un budget en tenant compte de tes dépenses et de l’argent économisé mensuellement.
  • Au budget, ajoute ton revenu, les bourses et les prêts et les frais reliés aux études postsecondaires.
  • Inclus les frais de scolarité, le loyer, les frais d’épicerie, les frais de téléphone cellulaire et autres.
  • Dresse une liste de personnes, de ressources et de services qui soutiennent ta santé mentale si tu en as besoin.
  • Mets sur papier des stratégies pour favoriser ton bien-être et des habitudes de vie saine.

Que se passe-t-il dans cette bande dessinée?

Observe la bande dessinée de David et Naïra. Invente le dialogue des personnages.

Cette activité est assez longue et pourrait nécessiter la collaboration d’une autre personne.

David et Naïra : 3, 2, 1, Action! Écrit et illustré par Éric Péladeau. Bande dessinée à neuf cases. Chaque case a des boîtes de narration et des personnages avec des bulles de texte. La case 5 est la case centrale de la bande dessinée. Case 1 : Les boîtes de narration expliquent : Pour réaliser un film, il y a une multitude de métiers, pas seulement celui d’acteur. Généralement, cela commence par l’écriture d’un scénario par une scénariste. Le scénario présente l’histoire en détail. La scénariste, tenant une copie de son scénario et un crayon, regarde les boîtes de narration. Invente ce qu’elle dit. Case 2 : La boîte de narration explique : La maquilleuse transforme les apparences du visage tandis que le coiffeur conçoit les coiffures et s’occupe des perruques pour personnaliser les comédiens. Dans une salle de maquillage et de coiffure, il y a un miroir, une chaise de maquillage, quelques perruques et une affiche pour un film appelé Trek des étoiles. Le coiffeur avec un regard frustré pointe vers la case 5. Invente ce qu’il dit. La maquilleuse porte un t-shirt qui dit Trek des étoiles, a plusieurs boucles d’oreille et tient une brosse de maquillage. Elle observe la case 5. Invente ce qu’elle dit. Case 3 : La boîte de narration explique : Le compositeur élabore une musique originale qui reflète l’ambiance et s’agence à l’histoire. Le compositeur joue une guitare électrique et des notes de musique s’en échappent. Invente ce qu’il dit. Case 4 : La boîte de narration explique : La cadreuse s’occupe de capter l’action. Son rôle est vital à l’aspect visuel et au ton de l’histoire. La cadreuse pointe une caméra vidéo sur un trépied vers la case 5. Invente ce qu’elle dit. Case 5 : La boîte de narration explique : Les acteurs sont devant la caméra. Ici, c’est David et Naïra. Naïra et David regardent la lectrice ou le lecteur de cette BD. Les deux sont vêtus d’un pantalon et d’une chemise. David porte une casquette. Naïra porte des boucles d’oreille et un collier. Invente ce que chacun dit. Une deuxième boîte de narration ajoute : C’est le cas de Marjane Satrapi, Pascal Rabaté, Enki Bilal, Joann Sfar, Satoshi Kon, Riad Sattouf… Case 6 : Le preneur de son tient sa perche vers Naïra et David dans la case 5. La boîte de narration explique : Le preneur de son est à l’écoute et s’assure d’enregistrer le dialogue des comédiens le plus clairement possible. Invente ce qu’il dit. Case 7 : Une monteuse et un mixeur sont à l’œuvre devant leurs appareils électroniques. Les boîtes de narration expliquent : La monteuse s’occupe de placer toutes les séquences filmées en ordre et de choisir les meilleurs plans. Cela représente souvent un casse-tête de taille. De son côté, le mixeur s’assure de l’harmonie des sons, du dialogue, des bruits et de la musique. Son tableau de bord comprend un nombre incroyable de boutons et de manettes. Case 8 : La boîte de narration explique : Le producteur accompagne le projet du début à la fin. C’est à lui que revient la tâche de trouver le financement pour réaliser le film. Il doit aussi veiller à ce que chaque étape respecte les limites budgétaires. Le producteur a une pile de dossiers. Son assistant a le nez dans l’un d’eux. Le producteur regarde vers la dernière case. Invente ce qu’il dit. Case 9 : La réalisatrice est assise sur une chaise avec un mégaphone. Elle regarde vers la case 5 au centre de la BD où sont Naïra et David. À côté d’elle, il y a un moniteur sur lequel on voit Naïra et David de la case 5. La boîte de narration explique : Il existe un grand nombre de métiers au cinéma, mais n’oublions surtout pas la réalisatrice, qui dirige l’ensemble de la production. C’est comme la cheffe d’orchestre du film. La réalisatrice parle dans son mégaphone. Invente ce qu’elle dit.

Bande dessinée : David et Naïra

David et Naïra : 3, 2, 1, Action! Écrit et illustré par Éric Péladeau. Bande dessinée à neuf cases. Chaque case a des boîtes de narration et des personnages avec des bulles de texte. La case 5 est la case centrale de la bande dessinée. Case 1 : Les boîtes de narration expliquent : Pour réaliser un film, il y a une multitude de métiers, pas seulement celui d’acteur. Généralement, cela commence par l’écriture d’un scénario par une scénariste. Le scénario présente l’histoire en détail. La scénariste, tenant une copie de son scénario et un crayon, regarde les boîtes de narration et dit : Parfait. C’est exactement comme je l’ai écrit. Case 2 : La boîte de narration explique : La maquilleuse transforme les apparences du visage tandis que le coiffeur conçoit les coiffures et s’occupe des perruques pour personnaliser les comédiens. Dans une salle de maquillage et de coiffure, il y a un miroir, une chaise de maquillage, quelques perruques et une affiche pour un film appelé Trek des étoiles. Le coiffeur avec un regard frustré pointe vers la case 5 et dit : Je ne peux pas croire qu’il porte une casquette. La maquilleuse porte un t-shirt qui dit Trek des étoiles, a plusieurs boucles d’oreille et tient une brosse de maquillage. Elle observe la case 5 et dit : Ils n’ont pas eu besoin de beaucoup de retouches, ces deux-là. J’aurais préféré les métamorphoser en créatures comme dans le film LE TREK DES ÉTOILES. Case 3 : La boîte de narration explique : Le compositeur élabore une musique originale qui reflète l’ambiance et s’agence à l’histoire. Le compositeur joue une guitare électrique et des notes de musique s’en échappent. Il dit : J’imagine une musique jazz-rock-contemporaine. Ce sera génial comme trame de fond dans cette case. Case 4 : La boîte de narration explique : La cadreuse s’occupe de capter l’action. Son rôle est vital à l’aspect visuel et au ton de l’histoire. La cadreuse pointe une caméra vidéo sur un trépied vers la case 5 et dit : Mm. On va éviter les gros plans. David a un bouton sur le nez aujourd’hui. Case 5 : La boîte de narration explique : Les acteurs sont devant la caméra. Ici, c’est David et Naïra. Naïra et David regardent la lectrice ou le lecteur de cette BD. Naïra dit : Dans une bande dessinée, le bédéiste occupe un peu tous ces rôles à la fois. David, qui porte une casquette, dit : Savais-tu que certains auteurs de bande dessinée ont également réalisé des films? Une boîte de narration ajoute : C’est le cas de Marjane Satrapi, Pascal Rabaté, Enki Bilal, Joann Sfar, Satoshi Kon, Riad Sattouf… Case 6 : Le preneur de son tient sa perche vers Naïra et David dans la case 5. La boîte de narration explique : Le preneur de son est à l’écoute et s’assure d’enregistrer le dialogue des comédiens le plus clairement possible. Le preneur de son dit : Oui, bon, sauf que là, c’est avec des bulles que tout le monde parle. Je suis un peu moins utile dans une bande dessinée. Case 7 : Une monteuse et un mixeur sont à l’œuvre devant leurs appareils électroniques. Les boîtes de narration expliquent : La monteuse s’occupe de placer toutes les séquences filmées en ordre et de choisir les meilleurs plans. Cela représente souvent un casse-tête de taille. De son côté, le mixeur s’assure de l’harmonie des sons, du dialogue, des bruits et de la musique. Son tableau de bord comprend un nombre incroyable de boutons et de manettes. Case 8 : La boîte de narration explique : Le producteur accompagne le projet du début à la fin. C’est à lui que revient la tâche de trouver le financement pour réaliser le film. Il doit aussi veiller à ce que chaque étape respecte les limites budgétaires. Le producteur a une pile de dossiers. Son assistant a le nez dans l’un d’eux. Le producteur regarde vers la dernière case et dit : Il faudra bientôt boucler la page. Il nous reste tout juste assez d’espace pour une dernière case. Case 9 : La réalisatrice est assise sur une chaise avec un mégaphone. Elle regarde vers la case 5 au centre de la BD où sont Naïra et David. À côté d’elle, il y a un moniteur sur lequel on voit Naïra et David de la case 5. La boîte de narration explique : Il existe un grand nombre de métiers au cinéma, mais n’oublions surtout pas la réalisatrice, qui dirige l’ensemble de la production. C’est comme la cheffe d’orchestre du film. La réalisatrice dit dans son mégaphone : Coupez! C’était parfait. On remballe tout!

Crédits

Cette ressource est réalisée grâce au soutien financier du gouvernement du Canada par l’entremise du ministère du Patrimoine canadien et du gouvernement de l’Ontario.

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Certaines photographies ou illustrations apparaissant dans ce livre proviennent de ©iStock.com, Envato Elements, PixelSquid et Adobe Firefly.

Références

Écoute ton cœur. Trouve ton métier spécialisé – Site Internet. Consulté le 14 mai sur le site Gouvernement du Canada.

(Entrevue) Jackson Ho, Caméraman chez TFO, Toronto. [vidéo]. (2020). La Cité collégiale (Ottawa).

Formation : Création de contenu médiatique – Site Internet. Consulté le 14 mai sur le site La Cité.

Formation : Journalisme – Site Internet. Consulté le 14 mai sur le site La Cité.

Formation : Production télévisuelle : Frais d’études – Site Internet. Consulté le 14 mai sur le site La Cité.

Guichet emplois : Information sur le marché du travail : Explorer une profession – Site Internet. (2024). Gouvernement du Canada.

Husson, K. (8 février 2021). Le métier de chef éclairagiste – Site Internet. Grand théâtre de Québec.

Initiation au métier de recherchiste audiovisuel – Site Internet. (2024). Université de Moncton.

Le curriculum de l’Ontario 10e année : Exploration de carrière (en vigueur dès le début de l’année scolaire 2024–25) – Site Internet. (2024). Gouvernement de l’Ontario.

Le curriculum de l’Ontario 11e et 12e année : Éducation coopérative – Site Internet. (2018). Gouvernement de l’Ontario.

Le curriculum de l’Ontario 11e et 12e année révisé : Orientation et formation au cheminement de carrière – Site Internet. (2006). Gouvernement de l’Ontario.

Le métier de monteur – Site Internet. (2023). L’école de cinéma CLCF.

Médias sociaux en marketing – Site Internet. (2024). Université Laval.

Microprogramme métier : Recherchiste – Site Internet. (2024). L’inis.

Producteurs / productrices, réalisateurs / réalisatrices et chorégraphes – Site Internet. (2024). Gouvernement du Québec, 2024. Consulté en ligne.